dimanche 23 septembre 2007

FRANCOIS STEYN


il est beau et un beau visage et ces un plaisir de le voir joue sur le terrain il serai bien dans le canlendrier des dieux du stade








FRANCOIS STEYN
Afrique du Sud
Fiche d'identité
© SARU/DR
Pays
Afrique du Sud
Date de Naissance
14 mai 1987
Lieu de Naissance
Aliwal North
Taille
1m91
Poids
100 kg
Poste
3/4 aile
Club
Natal Sharks

Palmarès
Titres
-
1er match en sélection
11 novembre 2006 c. IRLANDE
Sélections
12
Points
27 pts (3 essais, 3 drops)
Parcours en Coupe du Monde
Edition
Tour
Date
Adversaire
Résultat
Stats
2007
Poule A
09/09
SAMOA
59-7

2007
Poule A
14/09
ANGLETERRE
0-36
1 but
2007
Poule A
22/09
TONGA
30-25
1 but
Bilan
3 matchs
3 victoires
2 buts















Steyn, graine de star... 21/06/2007 - 20:12 Par SYLVAIN LABBE De Sports.fr Même s'il prendra place une nouvelle fois sur le banc samedi, à Durban (en direct sur notre site dès 15h), pour le choc face aux Blacks, dont ce sera l'entrée dans le Tri-Nations, François Steyn, héros de la victoire (22-19) des Boks face à l'Australie et nouvelle coqueluche du rugby sud-africain, sera l'attraction. A 20 ans, ce jeune trois-quarts s'annonce d'ores et déjà comme le Springbok à suivre, capable de faire basculer une rencontre à lui tout seul à l'image de ses deux drops réussis face aux Wallabies.






















Steyn: 1,91 m pour 100 kilos mais une vista incroyable à seulement 20 ans!Au pays du défi physique élevé au rang de seconde nature, il est un joueur qui dénote. Car si François Steyn affiche des mensurations (1,91 m, 100 kilos) dignes des canons sud-africains, ce jeune joueur de 20 ans allie à ses aptitudes physiques une vista des plus rares, illustrée brillamment le week-end dernier lorsqu'il offrit la victoire (22-19) aux Boks face à des Wallabies menant encore au score à trois minutes de la sirène. Deux drops, dont l'un improbable claqué des quarante mètres (42 mètres très exactement!) depuis la ligne de touche, qui ont mis KO les Wallabies.Deux inspirations exceptionnelles en vingt minutes depuis sa sortie du banc de touche, manifestations d'un instinct peu commun, à un moment du match où seuls les joueurs de classe mondiale sortent du lot. Steyn s'inscrit à coup sûr dans cette catégorie. Car la trajectoire de ce jeune trois-quarts pétri de qualités s'avère marquée par une précocité hors norme, lui qui ne compte avec les Springboks que quatre petites capes. Une sélection sud-africaine qu'il a rejoint sans attendre de faire ses classes, passant directement des moins de 19 ans au maillot des champions du monde 1995. Le talent n'attend pas... Et Steyn, capable d'occuper tous les postes du n°10 au n°15, en a revendre, au point d'être déjà catalogué en Afrique du Sud comme un nouveau phénomène. White: "Pas un joueur comme les autres..."Un engouement que Jake White, l'entraîneur sud-africain, ne peut que constater lorsqu'il avoue: "François n'est pas un joueur comme les autres. Qu'est-ce que je peux dire? Vous avez vu d'où il tape son premier drop, les pieds sur la ligne de touche? Là, ce n'est plus une question de coaching, c'est de l'instinct. C'est une question de feeling. François l'a. Il est encore très jeune, mais il a montré qu'il pouvait faire preuve d'une grande maturité. (...) Nous savions que François pouvait changer le cours d'un match, et il peut jouer partout derrière avec autant de talent. C'est bien d'avoir dans son équipe des joueurs capables de vous enlever de la pression au moment où vous en avez besoin." Et face aux Blacks, samedi, à Durban, c'est encore dans un rôle de super-joker que White le maintiendra en le faisant débuter une fois encore sur le banc. Un concert de louanges pour Steyn que même ses adversaires sont contraints de nourrir à l'image de l'Australien Stirling Mortlock bien obligé de reconnaître à son tour le flair du petit génie en herbe: "Je crois qu'il a déjà prouvé dans le Super 14 qu'il est solide quand il s'agit de tenter des drops. Le premier ne m'a pas surpris, mais le second a été réalisé sous une pression extrême. C'est assez rare, et c'est un don incroyable qu'il possède." Et dont l'intéressé a fait preuve dès sa première sélection en Irlande, en novembre dernier, lors d'une tournée d'automne pourtant fort délicate pour des Boks moribonds. Face aux hommes en Vert, le joueur des Sharks, la future équipe d'un certain Frédéric Michalak, fêtait sa première cape en position d'ailier par un premier essai. Titularisé à l'arrière à Twickenham, face à l'Angleterre, il se fendra d'un drop des... cinquante mètres. Le dropeur fou avait déjà frappé... Et quand on aura dit que la première apparition de Steyn sous le maillot des Sharks ne date que du printemps 2006 et fut conclue ce jour-là sur un titre de meilleur joueur du match, on comprendra que l'avenir de la nouvelle pépite du rugby sud-africain s'annonce des plus radieux.

mercredi 12 septembre 2007

homophobie 2007

La Présidente irlandaise, le suicide et les gays





nous somme encore d'êtres loin de la présidente irlandaise quand les hommes et femme en France aurons l'honnêteté de prendre partie contre tout sorte d'homophobie et etres d'apprendre a l'École la tolérance on auras fait un grand pas

il faut que les jeunes et jeune filles puise vivre leur homoxesualite en toute sérénité avec la tolérance qui sa tende

il faut l'égalité et la fraternité dans leur vie les adultes et parent doivent les soutenir dans leur choix de vie







La Présidente irlandaise, le suicide et les gays
Actualité / News Samedi 8 Septembre 2007












Suite à notre article de mardi dernier « L'école, le suicide et les jeunes gays », voilà une nouvelle qui ferait bien d'inspirer nos politiques français...

Mary McAleese, la présidente de l'Irlande a appelé à un changement d'attitude national pour mettre un terme au harcèlement des gays. Au cours de la Conférence de l'Association Internationale de Prévention du Suicide qui se déroulait à Killarney la semaine dernière, la Présidente irlandaise a souligné le lien entre l'identité sexuelle et le suicide : « L'Irlande accomplit des progrès considérables dans le développement d'une culture de vraie égalité, de reconnaissance et d'acceptation des hommes et des femmes homosexuels. Mais il y a encore un fond de préjugés et d'hostilité que les jeunes gays doivent trouver profondément blessant et frustrant (...) L'homosexualité est une découverte, pas une décision, et pour beaucoup c'est une découverte qui est faite dans un contexte où, dans leur cercle familial ou amical comme dans la société toute entière, ils sont depuis toujours confrontés à des attitudes homophobes qui ne les aident pas à accepter ouvertement et sainement leur propre sexualité ».
(source : The Irish Times).

Chapeau bas Madame la Présidente ! :o)



Envoyer cet article à un ami 12:40 Publié dans Blog Lien permanent Commentaires (0) Trackbacks (0) Envoyer cette note Tags : le suicide et les gays

homophobie 2007

homophobie


je trouve très scandaleux de voir que la France qui se dit etres un pays de droit de l'homme laisse l'homophobie prendre au temps de port portion les écoles devrais a prendre que tout etres humain mérite d'êtres répètes dans son choie d'orientation sexuel et que la tolérance et une égalité de chaque homme et femme



je remercie sos homophobie de rapele le danger qui cepasse en france





Enquête sur l'homophobie en milieu scolaire : des résultats édifiants
SOS homophobie a réalisé une étude à partir d'une enquête réalisée à l'échelle nationale (principalement par le biais de son site web) en 2005-2006. Les résultats portent sur 712 réponses au questionnaire.

Les chiffres sont édifiants.

Oui, l'homophobie à l'école est une réalité.

Non, l'Education Nationale ne fait pas ce qu'il faut pour la combattre.

C'est pourquoi SOS homophobie interpelle à nouveau les autorités publiques pour la mise en place, conformément aux engagements du Président de la République, d'une véritable politique de lutte contre l'homophobie.

Qui a répondu ?
Les participants représentent 67 %, les participantes 31 %. Leur moyenne d'âge est de 27 ans et 48% ont entre 15 et 25 ans.
58% des personnes interrogées déclarent avoir été victimes ou témoins d'actes homophobes. (Répartition par sexe : 59 % des participants à l'enquête, 55 % des participantes)

Où cela se passe-t-il ?
Le lycée (40 % des cas) et le collège (38 %) sont les lieux privilégiés de ces actes homophobes.

Quelles sont les formes de l'homophobie ?
Moqueries (29 % des cas) et insultes (26 %) en sont les manifestations principales. Un chiffre est préoccupant : dans 5 % des cas il y a coups et blessures.
Ces faits sont souvent renouvelés ou permanents (46 %).
Autre information inquiétante : 21 % des personnes interrogées déclarent avoir été victimes ou témoins d'homophobie de la part de l'institution (encadrement, administration).

Quelles en sont les conséquences ?
Elles sont alarmantes (plusieurs réponses possibles par questionnaire) :
Baisse des notes : 16 %, mal-être, déprime : 35 %, conduites à risques 9 %, tentatives de suicide 5 %.

Quelle est la réaction de l'institution ?
Ces faits restent souvent ignorés des adultes. En effet 44 % des victimes n'ont jamais osé en parler. Quand la situation est connue, seulement 5 % d'entre-elles ont reçu un soutien de la part de l'encadrement (et 20 % d'entre-elles ont été soutenues par des amis)

Quel est le jugement des victimes ?
Il est sans appel : 89 % pensent que l'homophobie est passée sous silence dans les manuels scolaires et 79 % par les enseignant-e-s. 88 % sont d'avis que l'Éducation Nationale ne fait pas ce qu'il faut et 90 % d'entre-elles pensent que les personnels devraient être formés à la lutte contre l'homophobie.

L'intégralité de cette étude est disponible sur notre site web.

Face à ces chiffres SOS homophobie renouvelle ses appels.

L'institution doit faire des gestes forts, les personnels doivent être formés (IUFM, formation continue), les élèves doivent être sensibilisés, les programmes et les manuels ne doivent plus passer sous silence les questions liées à l'orientation sexuelle et à l'identité de genre.

Ce sont en effet l'ignorance et les clichés qui constituent le terrain de l'homophobie, de la lesbophobie et de la transphobie ordinaires.

Les associations peuvent obtenir un agrément auprès des rectorats pour effectuer des actions de sensibilisation en milieu scolaire.

Des associations sérieuses qui demandent cet agrément voient trop souvent leur demande refusée, ou plutôt non réellement examinée, sous les prétextes les plus fallacieux : les dossiers ne sont pas parvenus, ou bien il manque une pièce ou, pire encore, sous prétexte que l'association aurait en fait pour but de "faire des rencontres", ou bien que l'"action de l'association, telle qu'elle est présentée, doit s'adresser en priorité aux adultes membres de la communauté éducative" ou encore que "l'orientation sexuelle, comme l'appartenance politique ou confessionnelle, relève d'un choix personnel et privé" (selon les termes employés dans des notifications de refus d'agrément).

Certes, il faut former les personnels de l'Éducation Nationale. SOS homophobie est prête à relever le défi. Mais l'enquête démontre que rien ou presque n'a été fait au niveau des IUFM et des plans académiques de formation (formation continue des personnels).

Et quel usage font les autorités rectorales des trois circulaires ministérielles qui ont mis la lutte contre l'homophobie dans les établissements scolaires à l'ordre du jour et recommandent l'intervention d'associations partenaires si possible agréées ? Ces circulaires n'auraient-elles d'autres fonctions qu'un effet d'affichage ?

Nicolas Sarkozy a pourtant déclaré dans le magazine Têtu d'avril 2007 : "tout ce qui peut être fait à l'école pour expliquer que la différence est une richesse et pas un risque, je le favoriserai". Pendant la campagne électorale, il avait aussi indiqué : "Il me parait également important de sensibiliser l'ensemble des adolescents sur la question des différences et de l'homophobie au cours de leur scolarité".

Pour faire le point sur la situation internationale et le retard de la France en la matière, des associations réalisant des interventions en milieu scolaire et des syndicats ont organisé un colloque du 16 mai (interventions audio disponibles sur notre site). Suite à celui-ci, un collectif d'associations a pris la décision de solliciter un rendez-vous avec le Ministre de l'Éducation Nationale pour faire le point à ce sujet.

Bien qu'ayant reçu l'agrément d'une Académie, SOS homophobie, victime comme les autres associations de tracasseries et de refus pour une autre demande, va intenter un recours devant le Tribunal Administratif et se joindre à la saisine de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Égalité (HALDE), faite par l'association Couleurs Gaies sur le refus d'agrément qu'elle a reçu de l'Académie de Metz.


Télécharger l'analyse de l'enquête "Milieu scolaire" menée par SOS homophobie en 2005/2006 (format PDF, 1,2 Mo)

SOS homophobie
c/o CGL, 3 rue Keller, BP 255, 75524 Paris cedex 11
www.sos-homophobie.org
Ligne d'écoute anonyme : 0810 108 135 ou 01 48 06 42 41
Contact presse : 06.28.32.02.50 / sos@sos-homophobie.org
Le 29/08/2007

12:55 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : homophobie

rugby 2007




Nouvelle-Zélande de rugby
la suite de cette équipe qui nous fascine par leur jeux et leur charme

Histoire [modifier]


Introduction du rugby en Nouvelle-Zélande [modifier]

L'équipe néo-zélandaise de 1884
Le rugby est introduit en Nouvelle-Zélande par Charles John Monro à la fin des années 1860. Monro avait découvert le rugby pendant ses études au Christ’s College Finchley, en Angleterre[1]. Le premier match de rugby en Nouvelle-Zélande se déroule le 12 septembre 1870, il oppose les équipes de Nelson et de Wellington dans la ville de Petone[2]. La première fédération néo-zélandaise, la Canterbury Rugby Football Union, est créée en 1879[3].


James Allan, joueur All Black N°1 en 1884
Les équipes de clubs néo-zélandais disputent leurs premiers matchs internationaux en 1882 à l’occasion de la tournée en Nouvelle-Zélande de l’équipe australienne de la Southern Rugby Union (l’actuelle New South Wales Rugby Union). L’équipe visiteuse joue contre des clubs d’Auckland à deux reprises, puis deux fois contre Wellington et une fois contre Canterbury, Otago & West Coast et North Island. Les Australiens remportent quatre matchs et perdent trois fois. En 1884, une équipe de Nouvelle-Zélande fait pour la première fois une tournée à l’étranger, en Nouvelle-Galles-du-Sud, elle joue huit matchs et les remporte tous[4].

La première tournée d’une équipe britannique en Nouvelle-Zélande a lieu en 1888, les Lions britanniques jouent en Australie et en Nouvelle-Zélande [5]. Cette tournée des Lions est organisée par deux joueurs de cricket, Arthur Shrewsbury et Alfred Shaw, qui recrutent principalement des joueurs du Nord de l’Angleterre et de l’Écosse. Cette tournée n’a pas le soutien de la fédération anglaise car l’organisation de la tournée est faite par des entrepreneurs privés, en contradiction avec la règle d’amateurisme imposée par la fédération anglaise[6], et de ce fait aucun test n’est disputé[7]


Premières compétitions internationales [modifier]

Les Originals, premiers All Blacks.
La New Zealand Rugby Football Union (NZRU) est formée en 1892, avec l’absence significative de représentants de Canterbury, Otago et Southland qui n’acceptent pas le point du règlement qui exige que les membres doivent résider à Wellington pour faire partie de la NZRU[8]. L’unification au sein de la NZRU est réalisée dans les trois ans qui suivent[9].

Le premier match officiel de la Nouvelle-Zélande a lieu en Nouvelle Galles du Sud (New South Wales) en juin 1893[10]. Son premier match international à domicile a lieu en 1894, la Nouvelle-Zélande perd ce match par 8-6 contre New South Wales[11] (voir aussi Décompte des points au rugby à XV).


David Gallaher en 1905
Le premier test match joué par la Nouvelle-Zélande se déroule le 15 août 1903 contre l’équipe d’Australie au Sydney Cricket Ground, les Néo-zélandais l’emportent par 22-3[12].

Une équipe représentant la Nouvelle-Zélande fait une tournée en Grande Bretagne en 1905, elle est appelée les Originals. Le terme All Blacks est utilisé pour la première fois à cette occasion[13]. La tournée est un succès pour les Originals qui ne perdent qu’une fois contre le Pays de Galles à Cardiff, par 3-0[14]. La victoire des Gallois est contestée en Nouvelle-Zélande, un essai néo-zélandais qui a été refusé aurait conduit à un match nul 3-3.

Le premier test match contre les Lions britanniques a lieu en 1908, les Lions étaient alors appelés les Anglo-Welsh car l’équipe était composée uniquement de joueurs anglais ou gallois. Les All Blacks remportent les deux test matchs.


Le début de la légende des All Blacks [modifier]
La rivalité entre les All Blacks et l’équipe d’Afrique du Sud (les Springboks) commence en 1921 à l’occasion d’une tournée des Springboks en Nouvelle-Zélande. Cette première confrontation se conclut sur une égalité entre les deux équipes (une victoire, une défaite et un match nul)[15]. La rivalité entre All Blacks et Springboks se poursuit aujourd’hui avec les trois rencontres annuelles du Tri-Nations.

Ce n’est qu’en 1924 que les All Blacks reviennent en Europe. L’équipe est alors appelée les Invincibles, car elle réussit l’exploit de remporter tous les matchs de sa tournée. Ils auraient pu réaliser un Grand Chelem au Royaume-Uni mais l’équipe d’Écosse a refusé de les rencontrer, prétextant un différend sur les dépenses[16].

Les All Blacks font leur première tournée en Afrique du Sud en 1928. Cette tournée se solde par une égalité entre les deux équipes[17]. Les Néo-zélandais perdent à Durban (0-17) et à Port Elizabeth (6-11) mais l’emportent à Johannesburg (7-6) et au Cap (13-5). Le bilan des All Blacks est globalement positif avec 5 défaites seulement en 23 rencontres contre les Springboks ou des équipes de provinces sud-africaines.

La première véritable équipe des Lions fait sa première tournée en Nouvelle-Zélande en 1930, la série est remportée par les All Blacks (3 victoires, 1 défaite)[18]. Les Lions remportent la première rencontre à Dunedin mais les All Blacks prennent leur revanche lors des trois matchs qui suivent.

Les All Blacks font une longue tournée de septembre 1935 à janvier 1936 qui les amène successivement dans les îles britanniques puis au Canada. Leur bilan est positif puisqu’ils remportent 26 matchs en 30 rencontres. Ils font un match nul et subissent trois défaites dont deux en test match contre le Pays de Galles et l’Angleterre[19]. Lors du match contre l’Angleterre, le prince russe Alexander Obolensky a contribué au succès des Anglais en marquant deux essais[20].

En 1937, les Springboks remportent leur série contre les All Blacks (2-1) lors d’une tournée en Nouvelle-Zélande[21]. Les All Blacks remportent le premier test match mais s’inclinent lors des deux suivants. Ils ont affaire à forte partie car cette équipe d’Afrique du Sud de 1937 est parfois décrite comme la meilleure qui ait joué en Nouvelle-Zélande[22].


La période 1947-1986 [modifier]
Les All Blacks jouent à nouveau contre les Springboks en 1949 lors d’une tournée en Afrique du Sud. Fait inhabituel, l’équipe des All Blacks perd deux test matchs le même jour (3 septembre), une équipe perdant contre les Springboks à Durban et une autre équipe représentant aussi la Nouvelle Zélande contre l’Australie à Wellington[23],[24]. Cette année là, la Nouvelle-Zélande perd aussi son 2e test match contre les Wallabies (équipe d’Australie), permettant à ces derniers de remporter la Bledisloe Cup pour la première fois. C’est une année noire pour la Nouvelle-Zélande qui perd ses quatre test matchs contre les Springboks[25]. Les All Blacks prennent leur revanche contre les Springboks en 1956 (3 victoires et 1 défaite) et remportent leur première série contre ces derniers[26]. Les All Blacks font débuter un très grand buteur, Don Clarke, qui marque 16 des 41 points de son équipe durant cette série.

La victoire des All Blacks contre les Lions en 1959 (3 victoires et 1 défaite) marque le début d’une période faste pour les néo-zélandais. Les All Blacks dominent les britanniques durant les années 1960 sous la conduite de joueurs légendaires comme Colin Meads, Don Clarke et Wilson Whineray[27]. Ils manquent de peu la réalisation d’un Grand Chelem en 1964, ne faisant que match nul (0-0) contre l’Écosse[28]. Les All Blacks remportent leurs trois test matchs en 1967 mais n’ont pas la possibilité de jouer contre l’Irlande en raison d’une épidémie de la fièvre aphteuse dans ce pays. Ils battent aussi l’équipe de France au stade de Colombes en novembre 1967[29].

Les Lions britanniques sont battus à nouveau en 1966, et il faut attendre 1971 pour qu’ils battent les Néo-zélandais[30]. Lors de leur tournée 1972-73 en Europe, les All Blacks remportent des succès contre les nations britanniques mais concèdent un match nul contre l’Irlande (10-10) et perdent en fin de tournée contre la France (6-13)[31].

En 1976, les All Blacks effectuent une tournée très controversée en Afrique du Sud[32] qui a entraîne le boycott de 22 pays africains lors des Jeux Olympiques d’été de 1976 à Montréal, ces pays voulaient ainsi manifester leur opposition à une tournée effectuée dans un pays africain qui pratiquait alors la politique d’apartheid) et protester contre le fait que la Nouvelle-Zélande était cependant autorisée à participer aux Jeux Olympiques.

Sous la conduite de leur capitaine Graham Mourie, les All Blacks réussissent un Grand Chelem en 1978[33]. Leur succès acquis de justesse (13-12) contre les Gallois fut cependant controversé car acquis grâce à une pénalité accordée par l’arbitre en fin de match[34]. Au cours de cette tournée, les All Blacks sont battus nettement par l’équipe du Munster (0-12) à Limerick[35].

La tournée faite par les Springboks en 1981 en Nouvelle-Zélande est marquée par des mouvements de protestation contre la politique d’Apartheid de l’Afrique du Sud[36],[37]. Les Springboks font cette tournée à l’invitation de la fédération néo-zélandaise, le gouvernement ne s’y oppose pas sous prétexte qu’il ne faut pas mélanger sport et politique[38]. Les All Blacks remportent cette série (2 victoires et 1 défaite)[39], mais cette tournée reste dans les mémoires comme celle de la violence dans les villes et des matchs annulés[40].

La tournée en Afrique du Sud de 1986 est annulée à la suite d’une action en justice de la part des opposants à cette tournée qui ont démontré qu’elle était contraire au règlement de la fédération néo-zélandaise NZRU. Une tournée non officielle est cependant effectuée par une équipe appelée les Cavaliers et qui comprend de nombreux All Blacks. Les joueurs des Cavaliers sont suspendus à leur retour en Nouvelle-Zélande[41].


1987-1995 : période des trois premières coupes du monde [modifier]
La première coupe du monde de rugby à XV en 1987 est co-organisée par la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Les All Blacks la remportent après avoir battu la France en finale (29-9). Ils survolent cette édition en ne concédant que 52 points et en marquant 43 essais en six rencontres.

Les All Blacks confirment leur suprématie en 1988 en battant à domicile les Wallabies (deux victoires et un match nul), à l’occasion d’une tournée en Australie dont ils reviennent invaincus (douze victoires et un match nul)[42]. Grant Fox est le meilleur réalisateur néo-zélandais de la tournée avec 119 points.

L’année 1989 est encore meilleure pour les All Blacks qui remportent les 19 test matchs qu’ils disputent, avec des victoires contre les équipes de France, d’Irlande, du Pays de Galles et d’Australie[43]. Lors de la tournée en Europe des All Blacks, Grant Fox est à nouveau le meilleur réalisateur Néo-zélandais, grâce à ses talents de buteur, avec Frano Botica et John Gallagher.

Les All Blacks font une tournée en France en octobre et novembre 1990 afin de préparer la coupe du monde de 1991. Ils remportent leurs deux test matchs contre les Français et six autres matchs mais de manière surprenante sont battus contre deux sélections régionales de Provence-Côte d’Azur et de Côte basque-Landes[44].

Ces contre-performances annoncent l’échec à la coupe du monde de 1991. Elle se passe assez mal pour les All Blacks qui ont de la difficulté à battre les Anglais et les Italiens pendant la phase de poule et qui sont battus par les Australiens en demi-finale (6-16). Les Néo-zélandais terminent 3e de l’épreuve, remportant 5 de leurs 6 rencontres. Grant Fox est le meilleur réalisateur des All Blacks (44 points), John Timu et Terry Wright sont les meilleurs marqueurs d’essais néo-zélandais, avec seulement 3 essais. Les Australiens, qui ont remporté la coupe du monde en 1991, confirment leur suprématie vis-à-vis des All Blacks en les battant par deux fois en 1992 (les All Blacks perdent aussi contre l’équipe de Sydney)[45], mais battent les Springboks en Afrique du Sud.

L’année 1993 est plus favorable aux All Blacks qui battent notamment les Lions (2 victoires et une défaite) mais s’inclinent contre les Anglais à Twickenham[46]. L’équipe est alors en reconstruction, en vue de la coupe du monde de 1995, ce qui n’est pas sans difficultés : les All Blacks concèdent deux défaites à domicile contre la France en 1994, à Christchurch et Auckland[47], et perdent leur seule rencontre contre l’Australie, bien qu’ils comptent dans leur rang deux ailiers de renom : John Kirwan et Jonah Lomu.

Les All Blacks sont à nouveau favoris pour l’édition de 1995, ils remportent facilement leur poule puis éliminent l’Écosse en quart de finale et l’Angleterre en demi finale. Jonah Lomu se met en évidence en marquant quatre essais lors de la demi finale. Les Néo-zélandais s’inclinent de peu en finale contre les Springboks (12-15) au terme d’un match très disputé pendant lequel aucun essai n’est marqué[48]. Andrew Mehrtens est le meilleur réalisateur Néo-zélandais (84 points), Mark Ellis et Jonah Lomu sont les meilleurs marqueurs d’essais avec 7 essais chacun

22:25 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : Nouvelle-Zélande de rugby

rugby 2007



Nouvelle-Zélande de rugby
je trouve cete equipe manifique

Équipe de Nouvelle-Zélande de rugby à XV

Nouvelle-Zélande






Surnom les All Blacks
Stade Eden Park



 
'



 
'

Entrée au Board 1949
Sélectionneur Graham Henry
Capitaine Richie McCaw
Record de sélections Sean Fitzpatrick : 92
Record de points Andrew Mehrtens : 967
Record d'essais : {{{nombre record d'essais}}}
Premier match officiel
15 aout 1903
Nouvelle-Zélande 22 - 3 Australie
Plus large victoire
4 juin 1995
Nouvelle-Zélande 145 - 17 Japon
Plus large défaite
28 aout 1999
Australie 28 - 7 Nouvelle-Zélande
Coupe du Monde
-Phases finales
-Meilleur résultat
5
1er (1987)
Tri-Nations
Tournoi des six nations
{{{nombre de victoires aux 6 nations}}} fois vainqueur,
dont {{{nombre de Grand chelems}}} Grand chelems
Tournoi des six nations
voir Rugby à XV
L'équipe de Nouvelle-Zélande de rugby à XV , surnommée les All Blacks, est l'équipe qui représente la Nouvelle-Zélande dans les principales compétitions internationales de rugby à XV d'autres sélections représentent la Nouvelle-Zélande lors de compétitions moins importantes de rugby à XV, c'est le cas notamment des Junior All Blacks qui est l’équipe réserve des All Blacks. Elle est considérée comme l’une des meilleures sélections nationales au monde de par son palmarès, et est actuellement en tête du classement des équipes nationales de rugby.

Le rugby à XV est le sport le plus populaire de Nouvelle-Zélande, il attire principalement les meilleurs sportifs du pays et aussi ceux des îles voisines de l’Océanie. L’équipe de Nouvelle-Zélande, surnommée les All Blacks, dispute chaque année le Tri-Nations contre les équipes d’Australie et d’Afrique du Sud, elle effectue aussi régulièrement des tournées pour se confronter aux équipes européennes et rencontre ces équipes tous les quatre ans lors de coupe du monde de rugby.

Les All Blacks sont régulièrement favoris pour remporter la coupe du monde de rugby mais ils n’ont gagné cette épreuve qu’en 1987. Ils ont cependant un palmarès inégalé dans le rugby à XV avec un fort pourcentage de victoires en test matchs, leur premier succès est acquis dès 1903 contre l’équipe d’Australie. Ils sont aussi connus pour leur tenue tout en noir et leur chant de guerre, le fameux Haka, qu’ils interprètent avant chaque test match pour impressionner l’adversaire.

22:20 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : Nouvelle-Zélande de rugby

rugby 2007


Les Tonga et les Américains
je suis sortie du travail et je suis arrive presque a la fin du match et j'ai été surpris de voir que américain on être battue par le tonga ces américains qui son si fort dans d'autre sport la il son hue des joueur bien décidée a gagner j'espère que les autre match seras mieux pour heu





Les Tonga viennent à bout des Américains







augmenter la police
diminuer la police
imprimer


Les points

Etats-Unis: 2 essais McDonald (47), Stanfill (66), 1 transformation Hercus (66), 1 pénalité Hercus (31)

Tonga: 3 essais Maka (2), Vaka (59), Vaki (70), 2 transformations Hola (2, 70), 2 pénalités Hola (6, 25)
En ce moment à la une
France-Ecosse en live comme à la maison!
Le baril de pétrole brut atteint un record historique à New York à 80 dollars
Les Japonais frôlent l'exploit face aux Fidji
"Maddie": la justice se donne dix jours pour statuer sur le sort des McCann
Nicolas Sarkozy, toujours populaire, gère les premières difficultés
Reuters ¦ Américains et Tongiens se sont livrés un vif combat, finalement remporté par les Mélanésiens


La Coupe du monde a connu mercredi sa première confrontation remplissant les objectifs de ce pourquoi elle avait été créée: allier découverte et jeu débridé, malheureusement gâché par trop de déchet technique.

L'opposition entre les îles Tonga et les Etats-Unis fut un vrai moment de curiosité pour le public montpelliérain. Des essais, des contacts, des belles intentions et un suspense permanent. Hélas, la qualité de l'ensemble a souffert de trop nombreuses hésitations, pour concrétiser les velléités de rugby champagne.

A dix minutes de la fin, les Pacifiques s'assuraient une victoire méritée (25-15), réussissant à imposer leur jeu de rugby à VII tout en renversement d'attaques, à des Américains réalistes et appliqués, mais un brin trop académiques. Toutefois, les deux équipes peuvent regretter d'avoir raté bonus offensif et défensif. Mais ils auront réussi à intriguer la public de la Mosson.

Reuters ¦ Américains et Tongiens se sont livrés un vif combat, finalement remporté par les Mélanésiens






20Minutes.fr, éditions du 12/09/2007 - 16h07

dernière mise à jour : 12/09/2007 - 16h21

21:25 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : rubgy Les Tonga et les Américains

Trackbacks

rugby 2007


Les Japonais face aux Fidji
j'ai vue sur euro sport le matche et ces vraiment excellent je jeux été superbe et je les remercie pour leur jeux

que ce soie les japonais ou les fidji j'ai trouvez le spectacle magnifique

Les Japonais frôlent l'exploit face aux Fidji





augmenter la police
diminuer la police
imprimer


Les points

Japon: 3 essais L. Thompson (51, 78), Soma (62), 2 transformations Onishi (51, 78), 4 pénalités Onishi (17, 28, 39, 41)

Fidji: 4 essais Qera (36, 49), Rabeni (56), Leawere (71), 3 transformations Little (36, 49, 71), 3 pénalités Little (4, 54, 74)

Exclusions temporaires:
Fidji: Delasau (39)
Reuters ¦ Les Fidjiens ont souffert jusqu'au coup de sifflet final, face à de fabuleux Japonais


Les Cerises ont failli fleurir de bonheur le Stadium de Toulouse. a l'issue d'un match exceptionnel, le Japon fut à deux doigts de renverser les terribles guerriers du Pacifique. Les Îles Fidji ont finalement réussi à s'imposer 35-31 contre les Nippons, après une course poursuite hitchcokienne qui entre dans le panthéon des plus grand matchs du Mondial.

Auteurs de trois essais, les «Cerises en fleurs» entraînés par le mage kiwi John Kirwan, ont produit un rugby de qualité, axé sur le jeu au large, tout comme sur le maul efficace. Symbole de ce feu d'artifice, la dernière séquence de jeu, où les Rouge et Blanc ont remonté 80 mètres à la main, enchaînant treize phases de jeu.

En face, les Fidjiens n'ont été que l'ombre d'eux-mêmes, multipliant les ballons tombés et les fautes de minimes et subissant l'impact sur quasiment tous les regroupements. Heureusement leur restait ce sens du jeu inspiré du rugby à VII, dont ils sont les spécialistes. Leur quatre essais, splendides d'altruisme et de jeu croisè, ont ainsi résonné comme de rares éclaircies dans la grisaille de leur jeu brouillon.

Reuters ¦ Les Fidjiens ont souffert jusqu'au coup de sifflet final, face à de fabuleux Japonais






20Minutes.fr, éditions du 12/09/2007 - 19h58